Panorama des différentes offres de banque en ligne pour mieux comprendre qui fait quoi ? Entre les néobanques et les banques en ligne presque traditionnelles pas facile de s’y retrouver au moment de choisir une banque en ligne. Les banques en ligne ont tendance à fragmenter la clientèle sur des positionnement de niche. Une banque en ligne pour les indépendants, une autre pour les étudiants, une autre pour les écoresponsables, … chacun essaye de mieux positionner son offre et de se différencier.
Les banques en ligne traditionnelles
Les banques en ligne sont toutes des filiales des banques de place. Ainsi Boursorama est une filiale de la Société Générale, HelloBank appartient à la BNP, BforBank c’est le Crédit Agricole, … Alors autant le savoir au moment de choisir une banque en ligne. Il faut commencer par regarder qui se cache derrière qui ?
Pour la plupart de ces banques en ligne elles jouent la complémentarité entre les usages mobiles et le réseau d’agences. Ainsi dans certaines banques en ligne il est possible de déposer des billets ou des chèques en profitant des agences de proximité.
Les banques en ligne et les prêts immobiliers
Pendant longtemps c’était le point faible des banques en ligne. On disposait d’un compte et d’une carte avec quelques facilités de découvert. Mais pour accéder à du financement ce n’était pas possible, et encore moins pour faire l’acquisition d’un appartement ou d’une maison. Mais désormais certaines banques en ligne proposent un parcours de prêt immobilier totalement dématérialisé.
La déferlante des néobanques
Elles profitent de l’ouverture du marché bancaire, et des nouvelles technologies pour casser les codes des banques traditionnelles. Ces néobanques ont ainsi inventé les ouvertures de compte sur mobile en quelques minutes. Avec elle, contrôler son compte et sa carte bancaire est devenu un jeu d’enfant grâce à des applications très intuitives. Elles s’appellent N26, Bunk, Revolut, … Elles viennent d’Allemagne, de Belgique, d’Angleterre, et ont séduit des millions de clients en Europe en quelques années.
En France, très peu de néobanque émergent, à part peut-être le fameux compte Nickel, désormais propriété de la BNP. Par contre, de petites startups s’appuient sur des prestataires bancaires pour développer des offres de niche.