Le Mask Sport de Salomon voyage en absurdie Pyrénéenne dans les années 2050 avec Lily qui vient de quitter la région Parisienne pour s’installer à Melles.
La combinaison retropollution et antivirus Astrazeneca
Lily vient d’arriver à la gare de Marignac Saint-Béat à bord du train à hydrogène GreenPyrénées. Lily vit à Melles depuis 2 ans après avoir quitté la région Parisienne et « une nouvelle transhumance » vers la province. Elle ne supportait plus de vivre dans sa combinaison retropollution et antivirus Astrazeneca. Heureusement dans le train entre Toulouse et Luchon, le masque FFP12X suffit. C’est une des raisons qui l’a amené à s’installer et vivre dans la vallée de Saint-Béat.
Avec le développement du très haut-débit et de la fibre dans le Comminges, Lily peut télétravailler.
Quatre jour par semaine, c’est son hologramme qui suit les réunions de métaprojets à la planification tridimensionnelles. Mais en général le vendredi elle va à Toulouse rejoindre ses collègues. C’est le seul de la semaine où les Restos* peuvent ouvrir à Toulouse entre 12h22 et 12h30 si la météo le permet.
Restos* mot dont l’origine vient du vieux français Restaurant, lieu où l’on peut se restaurer avec d’autres humains.
Des pistes de ski virtuel au Mourtis
Alors elle est contente de rentrer dans ses Pyrénées d’adoption, surtout qu’elle peut se faire livrer par drône à Melles par Amazon. En sortant de la gare de Saint-Béat, Lily monte dans sa voiture électrique, et passe récupérer ses courses au drive bio et local. de Saint-Béat. Elle peut maintenant monter à la station quatre saisons du Mourtis, pour une séance de ski virtuel. Comme l’avais annoncé Jamy dans les années 2020, il n’y a plus de neige dans les Pyrénées, alors le Conseil départemental a investi pour ouvrir des bulles de ski virtuel.
Lyli enfile son Mask Sport de Salomon et s’élance sur les pistes virtuellement enneigées.
Il est peut-être temps de revenir à la réalité, nous ne sommes toujours que 80 à Melles. Il y a bien un train à hydrogène dans la vallée de la Garonne. Des commerces viennent d’ouvrir à Saint-Béat (réellement ?). On peut faire de belles randonnées en raquette au Mourtis, … et du vélo avec l’itinéraire de Transgarona.
Et le Mask Sport de Salomon existe vraiment. Tout comme le jeu mobile My Lovely Planet pour acheter des dahu des Pyrénées et sauver notre planète en jouant sur notre mobile calé au fond du canapé avec une bouteille de coca en plastique.
Le Mask Sport de Salomon
Comment une marque de sport comme Salomon peut-elle tomber dans le panneau de la surenchère du masque antivirus ?
Alors que le gouvernement a défini un cahier des charges pour développer des masques antivirus pour la pratique sportive en salle, Salomon et Décathlon, se lance dans le masque pour le sport en extérieur.
On peut lire que le Mask Sport de Salomon, est un masque triple épaisseur, composé de deux couches de tissu, conçu à base de polyesters légers, et qu’il n’est pas désagréable sur la peau (super!).
Mais surtout son innovation repose dans la structure rigide qui est située entre le tissu et la bouche. Il s’agit d’une sorte de grille qui forme un galbe au dessus des lèvre. Ainsi on éviter que le tissu ne rentre dans la bouche durant l’effort. Finalement le ski virtuel au Mourtis était presque plus réaliste.
C’était quand même mieux avant quand Salomon produisait des chaussures de randonnées pour marcher dans les montagnes au grand air, …