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Label « Station verte » pour Saint-Béat-Lez pour la reconnaissance de son statut de destination touristique nature.

Saint-Béat-Lez au pied des Pyrénées

Le label « Station verte » reconnait au village de Saint-Béat-Lez une position géographique exceptionnelle, véritable porte d’entrée des Pyrénées Centrales.

Saint-Béat Lez est idéalement situé au sud de la Haute-Garonne, entre vallée de la Pique, vallée de la Garonne, et Val d’Aran (Espagne). A à peine 1h30 de Toulouse, elle offre un dépaysement nature avec une multitude d’activités entre vallée et montagne. Avec le retour du train dans la vallée de la Garonne, Toulouse-Luchon, Saint-Béat sera directement accessible pour les Toulousains en mal de nature.

La cité du marbre des Romains

La Garonne a laissé derrière elle un passage si étroit, dessinant la vallée de Saint-Béat. Un passage si étroit que les Romains, fins stratèges, la dénomme « Passus lupi », le Pas du Loup. Les Romains furent les premiers à exploiter le marbre local, désormais richesse locale. Une exploitation de marbre chargée d’histoire, et désormais célébrée par le festival du marbre et de la sculpture.

Saint-Béat une ville royale

Les seigneurs, les prieurs, les consuls font de Saint-Béat un centre économique, administratif et religieux incontournable, trait d’union entre la France et l’Espagne. Une dimension de coopération France et Espagne toujours d’actualité. Sous Louis XI, la ville devient ville royale. Sa position stratégique aux portes de l’Espagne lui valu l’appellation de « Clef de France ». Le château de Saint-Béat est agrandit en édifiant des portes et des murailles autour du bourg.

Outre le commerce transfrontalier la ville s’enracine aussi dans la religion. Une vie religieuse intense comme en témoignent les nombreuses églises et chapelles, Saint-Laurent de Géry, Saint-Etienne de Ladivert, Saint-Roch.

En 1855, à la suite d’une effroyable épidémie de choléra, la ville décimée (100 morts sur 800 habitants), érige une vierge  et une chapelle sur les remparts de la forteresse.

Le général Galliéni l’enfant du pays de Saint-Béat

Le général Galliéni né en 1849 à Saint-Béat, le stratège derrière les taxis de la Marne, restera fidèle à sa ville natale. Il trône désormais dans le petite village avec une statue évidemment en marbre blanc.

Un terrain d’activités grandeur nature

A Saint-Béat vous pouvez pratiquer de nombreuses activités en pleine nature : randonnée, ski, airboard, fat bike, VTT, vélo, escalade, pêche, centre équestre, piscine d’été, …

Saint-Béat-Lez se situe au pied d’une station quatre saisons, Boutx le Mourtis, dans un esprit famille et dans un environnement boisé avec une vue imprenable sur les plus beaux sommets de la chaîne des Pyrénées.

Pour les amateurs de pêche, le parcours de pêche touristique et d’initiation, de Saint-Béat, est repeuplé par la FDAAPPMA 31.

Enfin pour les amateurs de vélo, la piste cyclable Transgarona vous permet de découvrir le Haut-Comminges sur une voie sécurisée et dédiée. Profitez en pour aller découvrir la cité de Saint-Bertrand de  Comminges.

Du loup à l’ours à Melles

Du « passus lupi » à l’ours, il n’y a qu’un pas (enfin un gros pas). Profitez d’une randonnée familiale avec le Mémorial de l’ours à Melles situé sur le site de lâchers d’ours en 1996.

 

Autant d’atouts pour le village de Saint-Béat pour réussir des vacances inoubliables dans les Pyrénées, avec désormais la reconnaissance de « Station verte« . Pour ne rien manquer, passez par l’Office de Tourisme de Saint-Béat. Enfin pour séjourner à Saint-Béat, le camping « Cité du marbre » est de nouveau ouvert. Sinon vous pouvez aussi séjourner sur les hauteurs de Melles, dans la maison de vacances de l’Escouaraou ou bien dans le village chez Didier.